♦PP13 : WTT, La théorie totale des traits : la personnalité comme outil, mise en scène, conséquence et non plus cause.

Nous avions vu précédemment des études qui remettaient en cause la perspective dispositionnelle de la personnalité, car en la testant plusieurs fois par jour et en vérifiant en même temps des variables situationnelles (l’heure de la journée, les tâches, l’amicalité de l’entourage, etc.) ou personnelles (les buts que se donnait la personne) on découvrait la variabilité de la personnalité. Il n’était plus possible de l’envisager comme source de comportement, car les buts par exemple causaient les changements d’état de personnalité. Aujourd’hui on voit le modèle théorique qui accompagne ces expériences, la WTT Whole Theory Trait, la théorie totale des traits.

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Articles du dossier : 

Un désaccord avec les modèles dispositionnels

Les chercheurs (Fleeson, Jayawickrene 2015) partent du même constat critique que d’autres, tel que Bandura et Mischel, Epstein : le modèle à 5 facteurs décrit le « quoi », le comportement d’une personne, mais ne dit rien sur le pourquoi et le comment. Il y a besoin d’une explication sur les processus dynamiques des traits, que tentera d’apporter la WTT.

La WTT n’est pas d’accord sur le fait que les traits seraient comme figés dans le plâtre ou définis comme une essence de la personne : ici, les situations comptent, mais aussi l’interprétation particulière de la personne concernant celle-ci. Ainsi, utiliser les gènes pour expliquer les traits y est considéré comme une approche réductrice : les traits sont multi-déterminés, mais deviennent également des ensembles de schémas caractéristiques ayant une part de détermination, notamment à cause du phénomène d’accrétion qu’on verra un peu plus loin.

Ainsi, ils pensent que les mécanismes socio-cognitifs tel que décrit par Mischel ou Bandura sont constitutifs des traits : les mécanismes socio-cognitifs sont un traitement de l’information lié à l’affect, à la motivation, à l’interprétation de la situation ; ils concernent les croyances, les objectifs, les valeurs, les scénarios, l’histoire de vie.

Autrement dit, alors que la théorie de McCrae et Costa faisait de chacun de ces élément quelque chose de séparé ou de déterminé par la personnalité, ici au contraire l’expression d’un trait est le résultat de tous ces éléments qui le précèdent. Les chercheurs de la WTT estiment que les mécanismes socio-cognitifs sont un meilleur moyen de comprendre la personnalité car on évite par là même le raisonnement circulaire propre au modèle à 5 facteurs qui pouvait en venir à « il est névrosé parce qu’il est naturellement névrosé ». Ici un haut score en nevrosisme ferait se demander quelle croyance, quel but, quelle situation, quelle interprétation de la situation (etc.) l’a poussé à performer un état haut de nevrosisme.

La WTT, le modèle théorique

Autrement dit, la WTT considère la nature des traits comme fonctionnelle : les individus adoptent des manifestions de traits afin d’atteindre des objectifs spécifiques. Dans l’expérience précédente, on voyait par exemple que lorsqu’une personne se donne pour but de se connecter aux autres, elle va hausser son extraversion, parce que c’est un bon moyen d’atteindre ce but. Le trait a une fonction, une utilité sociale.

A noter que c’est une perspective différente de celle de Beauvois et Dubois qui voyait le trait comme la valeur sociale donné à celui qui est évalué. Ici, les expériences montrent que l’individu déploie par exemple une haute conscienciosité face à un travail tant pour répondre à ses buts qu’à la situation que pour être potentiellement bien vu. C’est utile pour lui comme pour l’environnement, ce n’est donc pas seulement l’expression d’une valeur sociale, mais aussi d’une valeur personnelle : on voit que certains au contraire ne vont pas monter leur conscienciosité malgré une situation qui y pousse.

Cependant, l’interprétation de Beauvois et Dubois et celle de la WTT ne me semblent pas incompatibles : du côté de l’évalué qui change son trait, il met en œuvre plus d’extraversion à la fois pour atteindre son but et l’environnement social peut évaluer cette performance et l’estimer inutile ou utile. Par exemple, cette hausse d’extraversion sera perçu comme bienvenue dans une situation amicale, mal vue en plein examen.

La WTT considère la personnalité comme multipotente : la personnalité peut changer selon les besoins, pour atteindre des buts. Plus encore, ils considèrent la personnalité comme un outil, et l’expression des traits comme la mise en scène choisie pour répondre à la situation, mais représentant aussi une singularité personnelle. Voici comment cela est représenté :

Issu et colorisé à partir de Fleeson, Jayawickrene (2015)

On a en haut une première grande catégorie « TRAIT EXP (= EXPlication) » : c’est tout le « pourquoi »/ »comment » de l’expression d’un trait :

En entrée, l’individu est exposé à un événement environnemental et/ou à un événement interne : prenons par exemple une situation d’évaluation à l’université, l’individu est forcé de faire telle tâche dans un temps limite.

Ces entrées sont mises en lien avec les intermédiaires, qui comportent aussi les valeurs et les motivations : par exemple l’étudiant a un stock de souvenirs d’évaluations qui lui font penser que ça va super mal se passer s’il est déconcentré et il oublie de lire attentivement les questions. Des buts sont activés : « je dois réussir » « il faut que je m’organise » « je ne dois pas m’amuser » « je ne dois rien oublier », etc. Il interprète cette situation comme un devoir à remplir absolument, à réussir. Et l’initiation homéostatique serait de se réveiller, d’engager sa concentration, d’activer ses forces, de stresser fortement.

D’autres étudiants à ce même examen peuvent ne pas activer les mêmes intermédiaires : un autre interprétera ça comme une évaluation qui n’a aucune espèce d’importance et il ne cherchera même pas à être plus éveillé ou concentré. Un autre interprétera cela comme une compétition qui lui permettra de démontrer sa supériorité « je vais bien me concentrer pour tous les écraser » « ils vont voir ce qu’ils voir » « si je suis attentif, je pourrais dépasser Jean Bernard d’au moins 4 points ahaha [rire démoniaque] » etc.

Puis la sortie serait un changement dans la manifestation d’un trait : l’étudiant va exprimer une plus haute conscienciosité, l’expression de ce trait dépend donc de la situation, de l’interprétation de celleci par l’étudiant et les buts qu’il y met, mais aussi des valeurs. Pour l’étudiant compétitif, possible que ça s’accompagne d’une basse agréabilité, une hausse de l’assertivité, étant donné qu’il interprète la situation comme une compétition, un jeu à somme nulle où il n’y a qu’un gagnant (alors que c’est faux, ce n’est pas parce qu’un étudiant « gagne » une bonne note que les autres vont « perdre », ils peuvent tous réussir ou rater et la note de l’autre n’a pas de répercussion sur sa propre réussite, sauf en cas de concours sélectif).

Un jeu à somme nul  : je m’accapare les bonnes places, l’autre n’y a plus accès, si je gagne, tu perds. https://creapills.com/le-jeu-de-la-dame-netflix-detournement-2020120

La partie DES (DEScriptive) est la description de ce qui se passe, comme dans les études menées par ESM. Il y a différents niveaux d’états à différents moments, une fréquence différente selon les individus qui restent néanmoins singulièrement stables dans leur variation d’état de personnalité : l’individu face à un devoir, une évaluation, une contrainte à faire telle tâche va y répondre par une très forte conscienciosité, puis la faire descendre quand il n’y a plus cette situation. Alors qu’un autre n’y répondra que par une moyenne conscienciosité qu’il conservera constante, comme on l’a vu dans les études précédentes.

Ici il est important de remarquer que le trait n’est pas la cause du comportement, c’est tout ce qui le précède (situations, interprétation, buts etc.) et c’est la dynamique entre tous ces éléments (comment on interprète la situation, comment notre interprétation nous fait formuler des buts et pas d’autres, comment nos valeurs filtrent notre perception de la situation, etc.) qui causent l’état du trait.

La WTT ne prétend pas avoir toutes les données qui expliquent pourquoi l’individu a tel état de personnalité à tel moment : il y a encore peu de recherches dans ce cadre théorique. On a vu qu’il y avait déjà quantité de nouveaux grands mystères qui ont était révélé avec les méthodes de l’ESM : par exemple le mystère des bas agréables qui sont désagréables quand tout le monde est amical autour d’eux. Les chercheurs constatent l’état de la personnalité et quelques variables de la situation (présence de personnes amicales) ainsi que des caractéristiques de l’individu (à une moyenne basse d’états d’agreabilité), mais le mystère reste dans l’interprétation ou les buts que cet individu se donne pour arriver à cet état.

C’est donc extrêmement différent des théories du modèle à cinq facteurs qui pourraient expliquer cela de façon circulaire tel que : « il est bas agréable parce qu’il est naturellement bas agréable, sa physiologie lui fait ça ». Or cette affirmation n’explique absolument pas pourquoi ce bas agréable, bien qu’il sache être poli ou chaleureux, ne le fait que lorsque les gens sont désagréables autour de lui. Très souvent cette perspective naturaliste des comportements a ce défaut d’envoyer dans une voie sans issue où l’on ne trouve ni explication, ni solutions, ni espoir de changement positif, et à cela s’ajoute un déni de quantités de facteurs situationnels, interactionnels, personnels qui ont un impact sur les comportements.

Ici la WTT donne une piste à explorer pour comprendre : la solution est peutêtre dans les buts, les interprétations de la situation, voire les valeurs et leur interactions.

A noter que dans ce modèle, le résultat par questionnaire n’a que peu de place, même si néanmoins il est probable qu’il corrèle à la moyenne des états, et que les états maximum corrèlent aux résultats du questionnaire parce que les personnes y exprimeraient leur capacité maximale d’états (Baird 2006; Fleeson 2001).

Donc…

Les chercheurs disent que la WTT montre que « différents états se produisent à différents moments en raison de différentes entrées dans les processus à différents moments en raison de différents intermédiaires dans les processus en raison de différents liens entre entrées intermédiaires et sorties »1. Et les individus différent dans ces processus dans les liens entre entrées, sorties, intermédiaires. En conséquence, la même entrée à différents individus, par exemple une humiliation, peut conduire à des sorties différentes, donc des états différents : l’un exprimera sa colère, l’autre de la honte, certains ne la remarqueront même pas, d’autres éclateront de rire pensant que c’est une blague, certains plongeront dans la dépression, etc.

La WTT soutient que le comportement devrait être décrit par des distributions entières plutôt que par un nombre unique. Autrement dit, elle estime le questionnaire de personnalité insuffisant à rendre compte des comportements caractéristiques ou variés de la personne, ce n’est qu’un élément de trait DES, à savoir en lien avec la moyenne des états, mais pas selon sa variation.

La WTT veut éviter le relativisme : les traits ne peuvent être adaptatifs que s’ils participent à la réussite d’expériences satisfaisant les besoins et produisant du bien être. Ainsi, j’ai pu voir que les chercheurs tentent de s’approcher du thème des vertus.

La WTT soutient que les états de personnalité sont prévisibles à partir des caractères de la situation, qu’ils sont prévisibles à partir des objectifs qu’un individu poursuit à un moment. (McCabe Fleeson 2012)

La WTT considère les manifestations de traits comme des moyens, des outils et non comme des fins. Les manifestations de traits sont les moyens concrets par lesquels les gens atteignent leur objectif. L’état de personnalité est simplement la personnalité mise en scène à chaque instant.

La WTT ne parle pas de dispositions pour qualifier les traits : la haute extraversion par exemple n’est plus une disposition à parler avec assurance ; parler avec assurance est un état caractéristique de l’extraversion, et les personnes sont capables d’adopter cet état si la situation, leurs besoins, leur physiologie, leurs motivations et interprétation des situations le leur permettent et leur donnent le feu vert. Et ce, qu’importe si la moyenne générale de l’individu prédisait pourtant une introversion par exemple.

La variabilité est donc très importante dans ce modèle et non considérée comme une erreur ou un phénomène mineur (contrairement à ceux qui insistent sur la stabilité). Au contraire, la variabilité est perçue utile, réactive et contrôlable, car les manifestations des traits sont des outils pour atteindre des objectifs (Fleeson 2001). Et cette variabilité est estimée causée par la situation.

L’accrétion

La WTT introduit aussi le terme d’accrétion. Ce sont « les cohérences et les efficacités comportementales et logiques qui fournissent des centre de gravité autour duquel des schémas de comportements peuvent être cohérents et devenir des ensembles qui sont souvent observés de concert ou se renforçant mutuellement »2.

L’accrétion peut se produire par l’apprentissage, les principes abstraits, les liens, la logique, le physiologique, le culturel, par les résultats que les états en accrétion donnent. Le chaleureux également hautement agréable aura pour résultat d’avoir des amitiés à fortes émotions positives, ce qui l’incite à persister dans l’expression conjointe de ses états.

Cette accrétion peut se faire aussi par généralisation : la généralisation selon Allport se produit lorsque les individus reconnaissent les similitudes dans les situations, dans les comportements, et dans les effets des comportements. Reconnaître les similitudes conduit à aligner les comportements pour qu’ils soient cohérents les uns avec les autres à travers ces similitudes. La généralisation est une capacité très utile dans l’apprentissage : quand on a appris le mouvement, la gestuelle pour ouvrir une porte, on va généraliser cet apprentissage à toutes les portes, quand bien même elle sont de formes et de couleurs différentes et que la situation est différente. A noter qu’ici on prend un angle différent de la généralisation vue dans les critiques : les critiques reprochaient à la théorie dispositionnelle de la personnalité de généraliser les résultats du questionnaire, à savoir par exemple quun haut score en névrosisme permettrait de qualifier la personne de naturellement névrosée ; le processus est le même mais il ne portait que sur un angle différent, à savoir que c’est l’évaluateur qui généralisait une caractéristique de la personne. Ici c’est la personne évaluée qui va par elle-même décider de généraliser un trait ou une facette à diverses situations.

Pour l’état de la personnalité, une personne peut reconnaître qu’être altruiste avec un proche a des effets similaires à être altruiste avec ses collègues de travail et généraliser cet altruisme à d’autres situations, comme aider un inconnu en difficulté dans la rue. Des principes et valeurs peuvent souder cette accrétion, et mener à des application larges : la personne va se mettre à aider discrètement une personne en situation irrégulière quand bien même elle risque d’être punie pour cela.

Les principes d’accrétion ne suivent pas la logique de « tout est permis » parmi les traits : certains états de traits sont logiquement incompatibles. Par exemple, il est difficile d’aimer les fêtes si on n’aime pas être entouré de personnes. Il est difficile d’être dans la plannification tout en étant impulsif : les états ne peuvent pas être vécus en même temps, l’un s’annule si l’autre est actif.

Les phénomènes d’accrétion expliquerait l’universalité des big five comme les spécificités culturelles : l’universalité se produirait lorsque conjointement des contraintes logiques, biologiques, physiques, entraînent des phénomènes d’accrétions similaires. Et cette accrétion expliquerait les spécificités culturelles : certaines cultures n’associent pas les mêmes comportements les uns aux autres, ni y accolent pas les mêmes valeurs. On a vu que les étasuniens avaient une forte pression à démontrer de l’extraversion car celle-ci est bien vue voire est un prérequis demandé, alors qu’attirer l’attention sur soi peut être perçu dans d’autres cultures plus collectivistes comme impoli et irrespectueux.

Des critiques ?

Le modèle est encore récent, peu connu et de plus les recherches peuvent demander pas mal de moyens : l’ESM demande à chaque fois une forte collecte de données, par conséquent je pense qu’il va s’avérer très difficile de faire des études longitudinales par exemple. Même tester tous les traits à la fois représente une gageure, parce que c’est pénible pour les participants. Donc le principal problème actuellement, c’est qu’il y a encore peu de recherches dans ce modèle, et qu’évidemment on aimerait en voir plus avec de plus gros échantillons de personnes non-étudiantes, dans d’autres pays, à différents âges, différents statuts sociaux, etc.

Personnellement, j’ai du mal avec leur emploi des adjectifs de Goldberg pour mesurer l’ouverture, je préférais de loin les facettes de McCrae et Costa qui me semblent plus pertinentes. Certaines études semblent avoir employé le Neo Pi (dans la meta-analyse de Fleeson) pour leur ESM, mais impossible de mettre la main dessus.

Ces adjectifs me posent un problème aussi pour les raisons d’identification plutôt que d’actions : toujours dans le cas de l’intellect, lorsque la personne répond « durant la dernière heure j’étais fortement intelligent », on ne mesure pas une activité de réflexion mais comment elle se sentait intellectuellement. Un narcissique mettrait des hauts scores à ceci tout le temps et une personne à basse estime de soi mettrait des scores misérables à ceci, quand bien même elle serait souvent dans une activité intellectuelle.

Je ne suis pas non plus très hypée avec leur tentative de rapprochement avec le thème des vertus3, parce qu’un comportement vertueux me semble demander une étude trop précise de la situation qui peut être inaccessible, surtout dans un protocole de recherche utilisant l’ESM. Un comportement n’est vertueux que si on a une photographie très complète de la situation, ainsi l’altruisme d’un comportement peut être complètement non-vertueux (faire une collecte de charité pour une cause raciste incitant à maltraiter des gens), être désagréable et dominateur peut être vertueux (comme la résistante qui s’énervait sur le préfet pour sauver sa collègue). La vertu se voit au cas par cas, pour des situations extrêmement bien renseignées, donc par approche idiographique (c’estàdire centrée sur l’étude d’individus) ce qui n’est pas l’approche des recherches actuelles autour de la WTT qui étudie des groupes et des ensembles de données.

Ceci étant dit, le modèle est très prometteur et j’ai hâte de découvrir ces évolutions ou les découvertes qu’il va permettre. D’autant plus que la WTT est tout à fait compatible avec la théorie de l’autodétermination que j’adore. C’est ce que nous verrons la prochaine fois !

La suite :

♦PP14 : L’AUTODÉTERMINATION ET LES ÉTATS DE PERSONNALITÉ

 


Notes de bas de page


La totalité de la bibliographie de ce dossier est présente ici : https://www.hacking-social.com/2023/04/03/%e2%99%a6ppx-sources/ 

1Fleeson W, Jayawickreme E. Whole Trait Theory. J Res Pers. 2015 Jun 1;56:82-92. doi: 10.1016/j.jrp.2014.10.009. PMID: 26097268; PMCID: PMC4472377. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4472377/

2Prentice M, Jayawickreme E, Fleeson W. Integrating whole trait theory and self-determination theory. J Pers. 2019 Feb;87(1):56-69. doi: 10.1111/jopy.12417. Epub 2018 Aug 14. PMID: 29999534.

3 Notamment dans un chapitre de l’ouvrage Moral Psychology, Volume 5: Virtue and Character, Walter Sinnott-Armstrong, Christian B. Miller, 2017.

Viciss Hackso Écrit par :

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